• 14 AU 22 SEPTEMBRE : journées du patrimoine, Exposition au Relais. Le livre « 14-18 Insolite » de Joëlle Beurier nous fait entrevoir la vie qui se poursuit à l’arrière du front, petites joies, petits bonheurs du staff de l’hôpital anglais au milieu de la population Arcquoise. Ce volume conduit plusieurs d’entre nous à reprendre les recherches. Un fond photographique conservé aux archives militaires permettra d’éditer plusieurs roll-up qui viendront s’ajouter à ceux de 2015 du centenaire de l’hôpital. Ceci amènera une nouvelle présentation et un intérêt étendu en association avec le Comité d’Histoire Régional.


  • JUILLET : Salle de l’Ancienne école de Cour l’Evêque. A.P.C. en collaboration avec la Commune de Cour-l’Evêque, la CC3F et l’O.T.3.F présente les travaux d’une classe d’ecoliers en 1936-1937. Travaux de dessins illustrant un texte ou dessins et leur réalisation en broderie. Une exposition plus qu’étonnante de ces œuvres, la classe de mademoiselle Marguerite Beguinot institutrice à Cour l’Evêque puis à Arc en Barrois participait aux concours nationaux. On reste admiratif devant la qualité du travail, la dextérité ou le sens artistique d’enfants de 10 à 14 ans menés par leur institutrice malgré le peu de moyens et des tissus aléatoires. L’exposition sera prêtée aux médiathèques qui le souhaiteront.


  • SAMEDI 18 MAI, VOYAGE : MYSTERES ET REMOUS DE NOTRE HISTOIRE.

    Rassemblement sur la place d’Arc et départ pour Tonnerre. Hôtel particulier du Chevalier d’Eon de Beaumont premier agent secret de l’histoire, visite guidée  par son descendant. D’Eon fut mandaté par Louis XV à plusieurs reprises auprès de la tsarine Elisabeth 1ère, travesti sous le nom de Lia de Beaumont ou en chevalier d’Eon. Envoyé à la cour d’Angleterre il tombera en disgrâce sous Louis XVI, sommé de s’habiller en femme il retourne en Angleterre, gagne sa vie comme bretteur et décède à Londres. Déplacement jusqu’à Chablis, visite d’une cave et repas.  

    L’après-midi, visite guidée du chateau de Tanlay, superbe château renaissance. Le château du 13ème était considéré comme une forteresse des plus importantes par Charles le Téméraire. Le château du 16ème, propriété de François de Coligny d’Andelot, frère de l’amiral de Coligny devint un lieu de réunion protestant. Le classement comme monument historique est intervenu en 1994.


  • VENDREDI 5, SAMEDI 6, DIMANCHE 7 JUILLET : THEATRE, cour du Relais.  Année 2015 : les comédiens et leur metteur en scène créaient une rétrospective de l’hôpital anglais 1914-1918 au château. Eté 2016 ils nous captivaient avec la création « J’vous l’avais bien dit ». 2017 ils nous enivraient avec l’élixir de « Miracle au couvent de Sainte Marie-Jeanne ». Ils nous ont enthousiasmés avec la pièce de Feydeau « Tailleur pour Dames », jouée cinq fois hors d’Arc courant 2018 et les MYSTERES de St. Hubert. Nous sommes tous impatients d’assister à leur prochain spectacle : « L’ecole des Contribuables » de L. Verneuil et O. Berr. Passons sur l’aversion d’un ministre pour la chose administrative et fiscale, un hiver de gilets jaune-citron, nous découvrons que la déclaration fiscale est une notion à géométrie très très variable.


  • VENDREDI 22 MARS : Salle des Fêtes, petite salle à 18h00. Paul François : « Un Paysan contre Monsanto » L’auteur découvre à ses dépens que l’industrie chimique ment par omission. Sous couvert de progrès, les représentants vantent les avantages de leurs produits, facilités d’application, économies réalisées, l’industrie oublie simplement de parler ouvertement des dangers. Si d’aventure un accident arrive, pas de philanthropie : nier en bloc, si cela ne suffit pas multiplier et faire durer expertises, contre-expertises, procès d’appel en appel, décrédibiliser la partie adverse ou la faire lâcher par lassitude. Au long de cinq années, Paul François en a fait l’amère expérience et son combat continue.

    L’Unesco reconnaissait la gastronomie Française comme patrimoine immatériel de l’humanité, peut-on penser que ce soit le résultat de cocktails explosifs ? Quant au retour des coccinelles dans les champs ? Comme le dit M. Bordier, beurrier d’excellence : « Il faudra toujours neuf mois pour faire un enfant », donner le temps au temps !






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